L’Antilope d’or
Découvrez L’Antilope d’or, né en Union soviétique et sans lequel Totoro, Chihiro et les autres n’auraient peut-être jamais vu le jour.
L’Antilope d’or est ainsi nommée car, quand elle claque des pattes arrière, il pleut des pièces d’or. Un cupide maharadjah veut la capturer, mais un jeune paysan protège l’animal magique – comme il protège tous les animaux d’ailleurs. Le conte est plein d’enseignements (au même titre que La Renarde et le Lièvre en complément de programme), mais ce qui frappe, c’est la fluidité de l’animation et la délicatesse du trait. L’affaire datant de 1954, point d’images de synthèse ou d’aide numérique.
C’est de l’image par image, un boulot de fourmi made in URSS qui marquera durablement, à plusieurs milliers de kilomètres à l’est, un jeune spectateur du nom de Hayao Miyazaki. La base.
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L’Antilope d’or, de Lev Atamanov
La Renarde et le Lièvre, de Youri Norstein.
A partir de 4 ans
En salles le 27 mars
© Malavida Films
